Laissez les gars: innovation 2.0
Si une entreprise d'innovation n'a plus d'idée les ingénieurs demandent avec plaisirs les jeunes innovateurs. Est-ce que le système scolaire classique peut faire n'importe quoi avec la créativité des jeunes?
Partout dans le monde il y a des tentatives avec des méthodes de formations qu'au lieu/ou à côté de l'apprentissage lexicale ils mettent en avant plutôt la pratique (en Hongrie aussi tous les Universités et Grands Écoles utilisent l'expression « s'orienter vers la pratique») mais si on cherche une système scolaire très lâche, on se concentre vers les États-Unis. Mais c'est un peu étonnant que l'exemple duquel on va parler est aussi surprenant pour les américains mais de tout façon on peut tous apprendre quelque chose de cela.
Le nom du professeur spéciale est Simon Haugher qui travaillent avec ses étudiants sur son système éducatif expérimental qui a vite reçu un nom aussi: même le président Obama a entendu sur le Groupe du Travail Développement Durable. La recette n'est pas très difficile: fait confiance aux étudiants, et laisse-les résoudre les problèmes globales du monde entières, fait des équipes, et au lieu de les concentrer sur les programmes d'études, fait les occuper plutôt sur des diffèrents projects. Mais si on veut être plus poétique: donne-les des ailes et laisse les voler.
On ne sait pas comment cela fut passé mais de cette formule un véhicule électrique est né, puis une voiture de sport hybride, qui est plus vert que Prius et plus frais qu'une Corvette. Les membres du groupe VEX (Véhicule Électrique) ont obtenu de bon résultat au concours de X Prize où le grand prix était 10 millions de dollars. Bien qu'il n'ont pas gagné mais leur réputation les ont emmenés jusqu'au Maison Blanche, qu'on peut voir sur la vidéo ci-jointe.
Mais quel est le rapport entre ce programme extra-scolaire et le système éducatif- demande lui-même professeur Haugher, qui ne nous laisse pas sans réponse. C'est que, dit-il, qu'on doit croie, que ceux qui ont participé dans ces projets, aujourd'hui sont des ingénieurs, des gens qui prennet la décision, des portes-paroles, des chercheurs, et à l'époque ils n'ont pas négligé leurs études mais en plus ils ont meilleur réussi à l'école. Il ne s'agit pas d'un miracle: c'est seulement le travail d'équipe, la confiance des adultes, les questions importantes (comme la protection de notre Planète, la construction de notre avenir commun) ont encouragé ces jeunes d'une puissance et d'une responsabilité plus grande.
Ce concept n'est pas si spécifique qu'on ne pourra pas faire en Europe aussi, et en plus on peut trouver des exemples en Hongrie aussi (Course pour les Véhicules Conduit par Alternative- en anglais: Race of Alternative Powered Vehicles). Le système dual de la formation gagne de plus en plus du terrain et les introducteurs ont de grands espoirs. La question est que notre formulation orienté plutôt sur les programmes d'études ont la capacité viable d'accomoder ces nouveaux modèles. Cela sera super si ces initiatives similaires sera répandu dans notre pays aussi, et peutêtre on va comprendre un jour que la confiance aux jeunes n'est pas un curiosum, ni le travail collaboratif entre les générations ni la construction de l'avenir.